Nom : Hégée
Prénom : Alexander
Surnom : Lorsqu’il était encore capitaine, on l’appelait Kaiser, L’empereur. D’ailleurs, dans le monde des humain on ne le connaît que sous ce nom.
Race : Humaine.
Caractère :
Description Physique :
Histoire :
1) Before midnight.
Prénom : Alexander
Surnom : Lorsqu’il était encore capitaine, on l’appelait Kaiser, L’empereur. D’ailleurs, dans le monde des humain on ne le connaît que sous ce nom.
Race : Humaine.
Caractère :
- Après de longues années passés dans le Dangai, notre homme est devenue un autre shinigami, sa joie de vivre disparut.
Un tâche qu’il m’incombe, à moi, narrateur pourtant si petit face à notre homme. Il est quelqu’un d’étrange, quelqu’un de spéciale, un être si contradictoire, qu’on le dit oxymore. Tellement d’adjectif peuvent aller pour Kaiser qu’il me sera plus simple de vous les nommez et détaillé en une sorte de liste bien que cela ne lui soit pas flatteur. Car l’Empereur est de grâce.
Froid et distant, deux adjectifs qui pourraient le qualifier lorsqu’on le voit. Il vous regarde, vous jauge pour savoir si vous êtes ne serait-ce que digne de le regarder… Ses yeux inquisiteurs, donnent envie de détourner le regards et il agit avec des manière si élégante, vous parle d’un air si froid et détaché qu’il donne envie de partir se recroqueviller dans un coin… Son ton, hautain, lui viens de son père.
Colérique et violent.. Puis viens le temps ou la colère détruit tout, ou la colère laisse les manières derrière elle, ou la violence prends le pas sur la distance, ou l’envie de tuer celui qui fait face est d’une grandeur sans égale, implacable pour notre homme. Ses colères dans lesquels il peut entrer lorsque l’on touche à quelqu’un de son entourage, à quelque chose de précieux pour lui, font peur aux téméraires , décourage les audacieux. La colère d’un homme est plus à craindre que celle de Dieu, le pardon de l’humain impossible.
Protecteur et intraitable, la notion sus-nommée plus haut induit alors cette notion de son comportement dont l’on douterait pourtant au premier regard. Pourtant part dominante de son fonctionnement, elle est la particularité de son comportement qui donne lieu à sa haine. Ainsi, il considère que toute chose le côtoyant lui appartient un peu, il n’aime pas, il considère comme dégradant et affreux que l’on y touche, qu’on le détruise. Intraitable, il n’hésitera jamais, il ne doutera jamais de la marche à suivre… Ou presque.
Sensible et charmant. Ses qualités font aussi partis de sa psyché. Sensible envers la beauté des femmes et des Arts, il excelle généralement dans les deux domaines. Ayant un don au piano et au violon auquel il s’exerce depuis son enfance, il en a fait un atout. Heureux devant la beauté éphémère de la nature, il aime admirer le paysage du haut d’un tour, regardant la lumière du soleil s’éteindre derrière le dernier bout de terre, les fleurs entamés leurs descentes des branches en hivers, terminant leurs vies en rejoignant la terre, comme l'homme.
Description Physique :
- Il n’y a pas à dire, L’empereur est un homme à femme. Il est vrais qu’il possède tout les atouts principal qui font rêver, enfin presque. Une plastique parfaite… Grand pour nos amis les Japonais car d’origine allemande, Kaiser fait un bon mètre quatre-vingt. Choquant un peu par son poids léger de soixante-kilos, il est tout en finesse, tout en grâce… Adroit et habile, il paraît à l’aise dans n’importe quel position. Un haute silhouette se dirige vers vous à présent, dans la brume, seul les contour de son corps sont visible… Deux yeux d’un rouge profonds et sanguinolent se font voir, luisant de cette lueur étrange lors qu’il est en colère… Mais on peut aussi remarquer cette étrange tristesse qu’il possède au fond des yeux, cette sorte de nostalgie qui le déprime de temps en temps… la question que l’on se pose est… Pourquoi ?
En dessous de ses yeux étrangement colorés, un nez fin, presque invisible et très légèrement aquilin se profile, bougeant légèrement lorsqu’il fait la moue ou qu’il adopte ses étranges mimiques faciale. Une bouche fine mais dont les lèvres sont pleines succède a son nez, paraissant sucré, elle est tantôt charmeuse, tantôt boudeuse et souvent, elle arbore un petit sourire moqueur, narquois et même… Séduisant. Mais toutes ses expressions son fines, presque invisibles, difficiles à cerner.
Ce qui rends jaloux les femmes chez lui, ce sont ses cheveux. Longs, noirs et fins, il peut en faire ce qu’il veut, ils seront toujours aussi beau et facile à coiffer.
Son style vestimentaire n’est pas défini. Baggy ou pantalon cigarette, débardeur ou t-shirt manches longues, veste, chemise, il met ce qui lui plaît, sans distinction aucune. Toujours une cigarette en bouche, on peut ainsi parler d’un beau jeune homme.
Histoire :
1) Before midnight.
Son père, Tidus Hégée. Vais-je vous conter son histoire ? Ou est-ce que je vais outrepasser cette partie . Celle-ci est portant importante, en effet, elle offre un angle d’ouverture plus grand sur celle de notre héros (Ero ?). Finalement, je me décide après avoir longuement hésité, je vais vous la raconter. Asseyez-vous confortablement, l’histoire ne fait que commencer.
Tidus, un enfant née de deux parents macédoniens. Issue de la famille Hégée, d’une richesse que je ne qualifierais pas de basse. Ni de haute d’ailleurs. Enfin, ils avaient un fils, il étaient heureux ! En effet il avait une fille, l’aînée de deux ans, Yuffa [Youffa]. Ils avaient eut peur de ne pas avoir de descendance, que leurs nom ne perdurent pas dans le temps et meurent a jamais avec leurs fille. Ils s’évertuèrent alors à le contenter, ils étaient aux petits soins avec lui. Mais notre jeune Tidus n’aime pas cela et trouve injuste que sa grande sœur soit traitée comme une moins que rien. Il n’accepta plus de cadeau trop beau.
A 18 ans, il se présente donc pour obtenir sa citoyenneté. Chose facilement acquise car il faisait partit d’une bonne famille et qu’il était poli et assidu. Pour tout dire, personne n’avait jamais entendu parler de lui en mauvais, personne n’essaya donc de s’opposer à l’acquisition de sa citoyenneté. Lorsqu’elle lui fut donné, ils s’engagea pour son service militaire de deux ans . Il était taillé pour ça de toute façon. Possédant un esprit militaire, très droit donc, il ne rechignait pas à la tache, malgré sa richesse, il était d’une gentillesse rare. Mais le physique lui non plus n’était pas en manque.
Brun, cheveux court. Un visage fait dans roc. Il possédait un visage ovale, des pommettes saillante encadré d’une bouche fine souvent éclairé par un sourire avenant. Des yeux bleus, des sourcil fin, il n’était pas laid mais pas extrêmement beau non plus. Adepte des exercices physiques, et des arts de combats, il semblait taillé a partir d’un cube de granits pure. Ses muscles saillant n’était pas fins, il était tout en muscles. Une vrais masse, une sorte de monstre mais doté d’intelligence et de gentillesse.
Il partit et se découvrit une vocation.
Il fut rapidement fait officier après ses deux de services militaire. En effet son intelligence et son efficacité au combat avec séduit tout les généraux, de plus, sa force de caractère lui permettait d’être obéis par beaucoup de ses camarades –a moins que ce soit ses muscles, qui sait ? Il était heureux mais un vde dans son cœur n’était toujours pas comblé.
C’est alors qu’il découvrit l’amour. Alexandra, t’elle était son nom. De grandes boucles blondes telle des rivières d’or encadré par un visage fin et des yeux verts pétillants de vie. Gracieuse, une femme parfaite qui découvrit l’amour elle aussi dans les bras d’un rude mais tendre officier de vingt deux ans.
Pendant deux années, il vécurent l’amour parfait avant de se marier. Mariage consommé que trois années plus tard, lors du retour de Tidus de campagne. Une fille naquit. Malgré le fait qu’elle fit le bonheur de l’officier, il aurait voulu un fils, pour continuer son chemin parcourut une fois qu’il serait mort. Mais bientôt, la fille mourut, sa mère extrêmement triste voulut néanmoins refaire un enfant.
2) Le bout du chemin.
Une maison en rase campagne. Une battisse en pierre grise, d’une superficie moyenne, son toit est plat , fait d’ardoise. Une fenêtre est présente sur trois des pants des mur. Un trou est présent sur le toit et surmonté de quatre petits murs, une cheminé en somme. Soudain, toute la maisonnée s’éveille (c’est à dire deux personnes) sous les cris d’une femme. Etait-elle entrain de mourir ? Non, elle donne la vie et lorsque toutes les fenêtre s’illumine, on voit que la raison évoqué plus haut est la bonne.
Mais allons voir de plus près, introduisons nous par la cheminé. Telle de petite souris . Nous tombons sur un vaste salon, occupant pratiquement toute la maison, le cœur de la petite chaumière.
Un porte sur chacun des pans du murs sauf celui ou une cheminé était présente. Pour celle de droite, c’est la sortie. Pour celle de gauche, nous tomberons sur la cuisine. Sobrement meublée mais bine entretenue, il s’y dégagé une bonne odeur, habituellement. Et donc celle qui était en face de nous ne pouvait qu’être celle menant à la chambre. Nous poussons légèrement la porte, nous glissons à l’intérieur de l’habitation avec la discrétion d’un serpent.
Un femme accouche, qui à dit que mon hypothèse était ridicule ? Après quelques heures d’accouchement, un enfant naît, un petit garçon. La femme chargé de diriger les esclaves s’occupant du jardin –habitant dans le petit cabanon, il était au nombre de quatre- le porta jusqu'à la mère, lui mettant une couverture pour ne pas qu’il ne meure de froid, un tissus en lin, cela portait chance à ce qu’il paraissait. Il est enfin là, il est née. Sa mère déplore l’absence de son père mais n’en n’est pas pour le moins heureuse, et puis, il serait bientôt de retour.
Alexander, voilà le nom qu’elle allait lui donner.
« Papa ! Papa!”
]« Oui, mon fils ? »
”Pourquoi le ciel est-il bleu ? »
Curieux, lorsqu’il fut investit du don de parler, il ne cessait de poser des questions qui énervait un peu son père –il avait un esprit militaire tout de même- mais qui rendait sa mère heureuse. Elle qui ne voulait pas le voir se risquer à la guerre. Mais bon, elle ne se faisait pas d’illusion, elle savait qu’il ne pourrait pas rester en place à l’école, comme son père. Il lui fallait néanmoins une éducation pour pouvoir faire ce qu’il voudrait plus tard. Grâce à la curiosité naturel du jeune homme, elle put approfondir tout de même sa réflexion. Ses parents et lui passèrent de très bon moment ensemble, jouant, riant, découvrant parfois pour
Mais bientôt son père partirait pour la guerre. Cela, Alexander ne le savait pas.
Bientôt, ce fût l’heure du départ. Il avait huit ans maintenant.
Son père lui offrit un coutelas pour qu’il s’entraîne à la chasse et aide sa mère pour faire ce qu’elle ne pouvait effectuer en tant que femme. Puis, le légionnaire chargé de sa protection jusqu’au campement vint le chercher. Lorsqu’ils disparurent en haut de la colline et qu’Alex se rendu compte qu’ils n’allaient pas revenir, il s’élança à leurs suite.
Il trébucha sur un cailloux, son père avait disparut.
Tidus, un enfant née de deux parents macédoniens. Issue de la famille Hégée, d’une richesse que je ne qualifierais pas de basse. Ni de haute d’ailleurs. Enfin, ils avaient un fils, il étaient heureux ! En effet il avait une fille, l’aînée de deux ans, Yuffa [Youffa]. Ils avaient eut peur de ne pas avoir de descendance, que leurs nom ne perdurent pas dans le temps et meurent a jamais avec leurs fille. Ils s’évertuèrent alors à le contenter, ils étaient aux petits soins avec lui. Mais notre jeune Tidus n’aime pas cela et trouve injuste que sa grande sœur soit traitée comme une moins que rien. Il n’accepta plus de cadeau trop beau.
A 18 ans, il se présente donc pour obtenir sa citoyenneté. Chose facilement acquise car il faisait partit d’une bonne famille et qu’il était poli et assidu. Pour tout dire, personne n’avait jamais entendu parler de lui en mauvais, personne n’essaya donc de s’opposer à l’acquisition de sa citoyenneté. Lorsqu’elle lui fut donné, ils s’engagea pour son service militaire de deux ans . Il était taillé pour ça de toute façon. Possédant un esprit militaire, très droit donc, il ne rechignait pas à la tache, malgré sa richesse, il était d’une gentillesse rare. Mais le physique lui non plus n’était pas en manque.
Brun, cheveux court. Un visage fait dans roc. Il possédait un visage ovale, des pommettes saillante encadré d’une bouche fine souvent éclairé par un sourire avenant. Des yeux bleus, des sourcil fin, il n’était pas laid mais pas extrêmement beau non plus. Adepte des exercices physiques, et des arts de combats, il semblait taillé a partir d’un cube de granits pure. Ses muscles saillant n’était pas fins, il était tout en muscles. Une vrais masse, une sorte de monstre mais doté d’intelligence et de gentillesse.
Il partit et se découvrit une vocation.
Il fut rapidement fait officier après ses deux de services militaire. En effet son intelligence et son efficacité au combat avec séduit tout les généraux, de plus, sa force de caractère lui permettait d’être obéis par beaucoup de ses camarades –a moins que ce soit ses muscles, qui sait ? Il était heureux mais un vde dans son cœur n’était toujours pas comblé.
C’est alors qu’il découvrit l’amour. Alexandra, t’elle était son nom. De grandes boucles blondes telle des rivières d’or encadré par un visage fin et des yeux verts pétillants de vie. Gracieuse, une femme parfaite qui découvrit l’amour elle aussi dans les bras d’un rude mais tendre officier de vingt deux ans.
Pendant deux années, il vécurent l’amour parfait avant de se marier. Mariage consommé que trois années plus tard, lors du retour de Tidus de campagne. Une fille naquit. Malgré le fait qu’elle fit le bonheur de l’officier, il aurait voulu un fils, pour continuer son chemin parcourut une fois qu’il serait mort. Mais bientôt, la fille mourut, sa mère extrêmement triste voulut néanmoins refaire un enfant.
2) Le bout du chemin.
Une maison en rase campagne. Une battisse en pierre grise, d’une superficie moyenne, son toit est plat , fait d’ardoise. Une fenêtre est présente sur trois des pants des mur. Un trou est présent sur le toit et surmonté de quatre petits murs, une cheminé en somme. Soudain, toute la maisonnée s’éveille (c’est à dire deux personnes) sous les cris d’une femme. Etait-elle entrain de mourir ? Non, elle donne la vie et lorsque toutes les fenêtre s’illumine, on voit que la raison évoqué plus haut est la bonne.
Mais allons voir de plus près, introduisons nous par la cheminé. Telle de petite souris . Nous tombons sur un vaste salon, occupant pratiquement toute la maison, le cœur de la petite chaumière.
Un porte sur chacun des pans du murs sauf celui ou une cheminé était présente. Pour celle de droite, c’est la sortie. Pour celle de gauche, nous tomberons sur la cuisine. Sobrement meublée mais bine entretenue, il s’y dégagé une bonne odeur, habituellement. Et donc celle qui était en face de nous ne pouvait qu’être celle menant à la chambre. Nous poussons légèrement la porte, nous glissons à l’intérieur de l’habitation avec la discrétion d’un serpent.
Un femme accouche, qui à dit que mon hypothèse était ridicule ? Après quelques heures d’accouchement, un enfant naît, un petit garçon. La femme chargé de diriger les esclaves s’occupant du jardin –habitant dans le petit cabanon, il était au nombre de quatre- le porta jusqu'à la mère, lui mettant une couverture pour ne pas qu’il ne meure de froid, un tissus en lin, cela portait chance à ce qu’il paraissait. Il est enfin là, il est née. Sa mère déplore l’absence de son père mais n’en n’est pas pour le moins heureuse, et puis, il serait bientôt de retour.
Alexander, voilà le nom qu’elle allait lui donner.
« Papa ! Papa!”
]« Oui, mon fils ? »
”Pourquoi le ciel est-il bleu ? »
Curieux, lorsqu’il fut investit du don de parler, il ne cessait de poser des questions qui énervait un peu son père –il avait un esprit militaire tout de même- mais qui rendait sa mère heureuse. Elle qui ne voulait pas le voir se risquer à la guerre. Mais bon, elle ne se faisait pas d’illusion, elle savait qu’il ne pourrait pas rester en place à l’école, comme son père. Il lui fallait néanmoins une éducation pour pouvoir faire ce qu’il voudrait plus tard. Grâce à la curiosité naturel du jeune homme, elle put approfondir tout de même sa réflexion. Ses parents et lui passèrent de très bon moment ensemble, jouant, riant, découvrant parfois pour
Mais bientôt son père partirait pour la guerre. Cela, Alexander ne le savait pas.
Bientôt, ce fût l’heure du départ. Il avait huit ans maintenant.
Son père lui offrit un coutelas pour qu’il s’entraîne à la chasse et aide sa mère pour faire ce qu’elle ne pouvait effectuer en tant que femme. Puis, le légionnaire chargé de sa protection jusqu’au campement vint le chercher. Lorsqu’ils disparurent en haut de la colline et qu’Alex se rendu compte qu’ils n’allaient pas revenir, il s’élança à leurs suite.
Il trébucha sur un cailloux, son père avait disparut.
Dernière édition par Kaiser le Mer 11 Mar - 17:02, édité 1 fois